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16 JUILLET 2021
16 JUILLET 2021
Homélie pour le cinquième dimanche du temps ordinaire
23 mai 2020
JEUDI SAINT
La première communion
LE CHRIST ROI DE L'UNIVERS
Vendredi 24 décembre 2021
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Service de Dieu
Marthe, elle, s’affaire, accaparée par les multiples occupations du service. Une femme généreuse et dévouée, comme le samaritain dont Jésus vient de louer la charité. Comme les maîtresses de maison trop inquiètes de tous les préparatifs pour bien recevoir, elle oublie l’essentiel : le visiteur. Elle court à la cuisine, des fourneaux à la salle, de la salle à la réserve : l’hôte, c’est celui dont on doit s’occuper et servir, celui dont il faut prévenir tous les désirs.

Michel Teheux
18 juil.3 min de lecture


"Qui est mon prochain ?"
Que Dieu aime sa créature, qu’il soit son Père, son protecteur, son patron, c’est ce que des spirituels de l’Antiquité avaient pressenti, sinon clairement exprimé. Mais que des hommes soient invités à aimer Dieu, cela ne pouvait être que le fait du Dieu de la Bible. Tout se passe dans la Bible comme si Dieu révélait, dans la Torah, l’exigence de l’amour parce qu’il a besoin, lui, d’être aimé. Un seul mot dit tout cela. Il est comme le condensé de l’Alliance : la Loi n’est pas

Michel Teheux
11 juil.3 min de lecture


Le Dieu étranger
Un docteur de la Loi – c’est-à-dire un homme instruit, un théologien – entre en discussion avec Jésus. C’est une joute oratoire, le pilpoul juif traditionnel, encore pratiqué de nos jours dans les écoles talmudiques. Sa question est : « que dois-je faire pour avoir la vie éternelle ? ». Jésus le renvoie à la Loi, le domaine d’expertise de ce savant : « aimer Dieu de tout son cœur de toute son âme et de toute sa force et aimer son prochain comme soi-même ».

Fr. Laurent Mathelot, o.p.
11 juil.3 min de lecture


« Dans la charité du Christ, donnez-vous la paix ! »
Permettez-moi de commencer notre méditation par une histoire simplement sincère et vraie. Un jour, dans une petite ville, un professeur demanda à ses élèves : « Qu’est-ce que la paix ? » Les enfants répondirent : « C’est quand il n’y a pas de guerre », « C’est quand tout le monde est content », « C’est quand on dort tranquille. » Mais un garçon leva timidement la main et dit : « La paix, c’est quand ma maman me prend dans ses bras quand je suis triste et qu’elle ne dit rien.

Frédéric Kienen
6 juil.3 min de lecture
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