Aujourd’hui, on a l’impression de connaître tous les chemins (on a Waze ou Google Maps), l’angoisse de se perdre à fort disparu avec le GPS, remplacée par celle de n’avoir plus de réseau ou de batterie. En sciences aussi, nous avons désormais l’impression de disposer d’un savoir colossal, de techniques ultrafines. Oh, il reste bien des maladies sans remède et des questions d’astrophysique sans réponses, mais nous envisageons d’aller sur Mars et nous opérons par Internet, le c
Les Lectures que nous venons d’entendre aujourd’hui nous confrontent à une vérité souvent mise de côté dans notre société matérialiste : ce que nous possédons ici-bas n’est pas éternel. Et pourtant, combien de nos efforts, de notre temps, de notre énergie sont consacrés à accumuler, à sécuriser, à protéger tant des choses qui, un jour, disparaîtront inexorablement.